Avec Ce Soleil Édith Piaf
Tekst piosenki
Avec ce soleil
On avait envie
De ne pas parler de boire
La vie à petit's goulées
Sous le Ciel superbe le long du talus
Mâchant un brin d'herbe et jupes collées
Elle regardait d'un air triomphant
Ce jeune homme imberbe
Encor presqu' enfant
Qui la désirai
Il aurait fallu presque rien
Peut-être un geste de lui
Un sourire d'elle qui lui dise viens
Il aurait fallu presque rien
Peut-être qu'un oiseau s'enfuie
Avec un bruit d'aile
Pour que tout soit bien
Pour que par dessus
Le toit de l'usine
Le long des murs gris
Pour que par dessus la route voisine
Et ses pavés gris
Pour que par dessus toutes les collines
Pour que par dessus toutes les forêts
Pour que monte au ciel sans cloche
Et sans noce
Un amour de gosse
Qui purifierait
Mais c'étaient déjà deux enfants durcis
Qui ne croyaient plus
N'avoir à ce dire
Que les mots des grands
Que la vie déjà broyait sans merci
Qui ne savaient plus
Ni rêver ni rire
Coeur indifférent
Et ce jour encor
Le log du talus
Les coquelicots avec les bleuets
En vain attendirent
Une main cruelle
Qui les cueillerait...
On avait envie
De ne pas parler de boire
La vie à petit's goulées
Sous le Ciel superbe le long du talus
Mâchant un brin d'herbe et jupes collées
Elle regardait d'un air triomphant
Ce jeune homme imberbe
Encor presqu' enfant
Qui la désirai
Il aurait fallu presque rien
Peut-être un geste de lui
Un sourire d'elle qui lui dise viens
Il aurait fallu presque rien
Peut-être qu'un oiseau s'enfuie
Avec un bruit d'aile
Pour que tout soit bien
Pour que par dessus
Le toit de l'usine
Le long des murs gris
Pour que par dessus la route voisine
Et ses pavés gris
Pour que par dessus toutes les collines
Pour que par dessus toutes les forêts
Pour que monte au ciel sans cloche
Et sans noce
Un amour de gosse
Qui purifierait
Mais c'étaient déjà deux enfants durcis
Qui ne croyaient plus
N'avoir à ce dire
Que les mots des grands
Que la vie déjà broyait sans merci
Qui ne savaient plus
Ni rêver ni rire
Coeur indifférent
Et ce jour encor
Le log du talus
Les coquelicots avec les bleuets
En vain attendirent
Une main cruelle
Qui les cueillerait...